Année 1999

(9 articles en 1999)

  • Trois jours ? Mon oeil ! (22 janvier 1999)

    Jessie préparait un numéro spécial des Nuées sur l’Administration, l’armée, la fonction publique dans son ensemble, et du coup, j’ai écrit cet article, qui n’est pas de la première fraîcheur, mais enfin.

  • Cyber-chiant (11 février 1999)

    Sur internet, les cyber-concepteurs de cyber-sites, ça me fatigue à un point que vous ne pouvez pas imaginer. Car enfin, cyber, voilà un drôle de mot, non ? Un raccourci de "cybernétique", duquel entre autres on a tiré cyborg (pour "cybernetic organism").

  • Sundborn ou Les jours de Lumière (4 mai 1999)

    La Beauce s’étendait de tout son long sur l’horizon. J’étais en train de lire Sundborn, ou les jours de lumière, de Philippe Delerm. Ce livre glorifie la vie, ou plus exactement le bonheur de vivre, comme Delerm imagine qu’ont vécu les Larsson, peintres suédois de la lumière.

  • Pyrénée (9 mai 1999)

    C’est une vieille histoire. Un de ces albums dont on désespère de les voir publiés un jour. Et puis Loisel s’est adjoint les services de Sternis au dessin, et enfin l’album est paru. Et c’est bien mieux comme ça !

  • 000, permis de cligner de l’oeil (18 mai 1999)

    Le 5 mai dernier, j’ai déposé mon dossier de demande de visite médicale pour proroger mon permis de conduire. J’ai donc pu avoir encore une fois les honneurs d’une série de séances à la Kafka du plus bel effet !

  • So sweety, so pretty, so funny (10 juillet 1999)

    La publicité n’est pas qu’une plaie de notre société consumériste, c’est aussi un moyen pour quelques créatifs allumés de bien s’amuser avec une "spécialité fromagère" bien connue.

  • Nostrapacorabanneries (16 août 1999)

    Un célèbre couturier parisien, dont on ne veut plus prononcer le nom, de crainte de provoquer un cataclysme, non content d’avoir été il n’y pas si longtemps la réincarnation d’un descendant pharaonique du soleil, s’est pris depuis peu pour un prophète. J’ai vécu la catastrophe en direct ce 11 août !

  • Heureux qui communique (15 septembre 1999)

    Le téléphone portable a ceci de paradoxal qu’il irrite ceux qui n’en possèdent pas et sait se rendre indispensable à ceux qui y ont cédé. Pour une fois, je vais en dire du bien...

  • Râleries de rentrée (21 septembre 1999)

    La rentrée scolaire a ceci de charmant qu’elle est toujours l’occasion d’entendre quelque mot amusant qui vous met en joie pour un petit moment. Celle-ci n’a pas dérogé à la règle.