Français

  • Breathtaker, Mark Wheatley - Marc Hempel (26 octobre 1998)

    Gare d’Austerlitz. Trois heures de l’après-midi. Je feuillette ce recueil aux couleurs mal imprimées, au trait pâteux, maladroit—expérimental ? Mais on ne résiste pas à Chase...

  • Promenade dans la capitale (14 octobre 1998)

    L’intérêt de travailler dans une administration digne de ce nom, c’est qu’on a la joie de se retrouver comme un rien à passer deux semaines en futiles palabres sur une réorganisation potentielle de service. On finit tout naturellement, après tant de travail harassant, par avoir besoin de s’aérer l’esprit !

  • Le sommeil du monstre, Enki Bilal (2 octobre 1998)

    Après n’avoir entendu que du bien de cet album, c’est mon tour d’hurler avec les loups. J’avais pourtant prévu de dénoncer la frénésie sans surprise pour un auteur déjà mille fois trop encensé. Mais non, je me trompais. Autant Froid Equateur ne m’avait pas transporté, autant, effectivement, il y a ici de quoi se réjouir.

  • Big Man, David Mazzucchelli (4 septembre 1998)

    J’en étais resté à Batman : Year One. Quelle surprise ! David Mazzuchelli nous livre avec Big Man un récit étonnant, tant graphiquement qu’au niveau du scénario.

  • In memoriam (18 août 1998)

    Hier, nous avons enterré le père de Stéphane (un de mes meilleurs amis). Il avait à peu près cinquante ans, vous vous rendez compte ? On ne devrait pas mourir si jeune.

  • from the choirgirl hotel, Tori Amos (mai 1998)

    Je suis en train d’écouter le nouvel album de Tori Amos, et comme d’habitude je souris béatement. Oh, elle a bien encore de ces envolés hystériques qui font son charme(!), mais elle a surtout cette voix envoûtante qui vous fait tout arrêter pour vous laisser pénétrer de sa sensualité, de sa chaleur, de son amour des autres peut-être ?

  • Le silence de Malka, Pellejero - Zentner (avril 1998)

    Cet album est inspiré en partie au scénariste Jorge Zentner par une anecdote que lui a racontée sa grand-mère, immigrée juive en Argentine, et par le souvenir de ses tresses rousses, qu’il a données au personnage de Malka.
    Loin d’être une simple histoire romancée racontant la migration vers l’Amérique du Sud des Juifs voulant éviter les pogroms, cet album nous plonge au coeur de la tradition religieuse juive. L’émigration n’est d’ailleurs qu’évoquée dans une tête de chapitre : des gens (…)

  • Netscape tout nu ! (mars 1998)

    Ça y est, c’est officiel, Netscape s’ouvre au bidouillage forcené. Pour ma part, je me demande bien ce que Netscape a à y gagner...