À vos débuts, vous vous qualifiez d’escroc.
Tous les jours je vois des fautes d’orthographe. Certaines sont expliquées (par le « stagiaire bandeau d’iTélé » par exemple), mais la presse écrite, qui a été pendant longtemps le parangon de la correction, est en train de péricliter. Personne n’y échappe : la revue mensuelle de mon patelin tourne à une moyenne d’une bonne faute par page, et même dans Télérama nous nous surprenons à trouver des fautes.
Heureusement qu’il reste Langue sauce piquante, le blog des correcteurs du Monde.
La phrase que j’ai mise en exergue, tirée du journal gratuit du matin, rappelle douloureusement que les correcteurs sont les premières victimes de l’effondrement de la presse.
Et le passé simple aussi.
(Spécial dédicace à Marie, notre Maître Capello à nous.)