Pharell Williams, Daft Punk, et ma culture lacunaire

Je lis beaucoup un gars qui s’appelle Augier ces temps-ci, et qui fait ma culture musicale (électronique).

Bref, Pharell, en 2013, n’est ni un débutant, ni un inconnu. Il est au sommet de la production musicale américaine depuis une quinzaine d’années. [Daft Punk], en revanche est plutôt sur le déclin. Son dernier album studio, publié en 2005, Human after all a divisé la critique. Composé en seulement 6 semaines, il paraît bâclé et beaucoup de personnes le remarquent à l’époque. S’ensuivent Alive 2007 en 2007 qui n’est qu’une captation live du concert du même nom, et Tron legacy, en 2010, la bande originale du film éponyme. Les deux, aussi oubliables l’un que l’autre.

Et c’est vachement intéressant, je vous invite à lire tout ça in extenso.

Commentaires

  • Nicolas Hoizey (1er septembre 2020)

    Excellent article effectivement !

    Mes oreilles sont grandes amatrices du Daft Punk de la première heure, avant même « Homework », mais je ne m’était jamais posé de questions (je m’en pose trop rarement, côté musique) sur leur trajectoire, leurs influences, et surtout sur ce qui fait effectivement de RAM un album en dessous du lot et trop hétérogène.

    Peut-être effectivement Pharell Williams les a-t-il aidés à sortir du trou où ils s’enfonçaient.

    Mais peut-être aussi a-t-il bien profiter de « Get Lucky » pour devenir plus connu du grand public (dont moi) et pouvoir sortir ce « Happy », que j’aime aussi.

    Répondre à Nicolas Hoizey

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