Je viens de lire Cloner le Christ ? de Didier Van Cauwelaert et je vous en parlerai peut-être un de ces jours, c’est un bouquin passionnant, une enquête religieuse, scientifique et policière qui n’est pas près de se conclure.
J’ai noté le passage suivant :
Ma foi, on l’a vu, n’a rien de bien orthodoxe : elle repose sur la joie d’être en vie, l’esprit critique, la liberté toute-puissante de l’enfance que Jésus nous invitait à réactiver, et, surtout, le sentiment d’empathie, la certitude instinctive de ne faire qu’un avec les autres, les chats, les arbres, les mots, la Terre, d’être un fragment d’hologramme brisé qui contient en lui l’hologramme tout entier. Appelons ça l’amour, sans craindre le ridicule. Qu’est-ce que l’amour ? Le sentiment d’unité renforcé par les brisures.
Je suis agnostique depuis bien longtemps (et vous allez me dire que ça n’a rien à voir), mais je me reconnais malgré tout assez dans ce « bouddhisme ambiant ».
Bonnes fêtes de fin d’année, embrassez ceux que vous aimez.