Des kayaks sont dressés sur le flanc ; de gauche à droite vert anis, jaune, orange, rouge, orange. Sur les deux derniers est couché un jaune, et une forme indescriptible blanche, peut-être une barrière mobile.
Le sable du Pacifique est ici très, très blanc — en tout cas plus que ce que je connais habituellement.
Une ligne sépare les kayaks du sable : c’est un ponton en bitume fait pour les gens qui ne veulent pas de sable dans les chaussures, je suppose.
Un petit fil métallique parcourt tous les canots. Un anti-vol trop fin pour être efficace. Anti-vol sans conviction, autant dire.