C’est un mur rainuré, peut-être la paroi d’un bloc électrique comme on trouve dans les rues, je ne sais plus.
Au milieu de graffiti violets, noirs, de bribes d’affiches décollées dont chaque strate a laissé quelques lambeaux, on voit trois tags faits au pochoir : « Je suis Charlie. »
Mouvement de foule, indignation, union, puis retour à la normale. Ne restent que ces vestiges.