C’était un des sites de références sur lesquels j’ai appris mon métier.
Depuis un an ou deux il ne vivait plus que sur sa réputation, et les articles récents ne valaient (à mon avis) plus autant que ceux des origines.
Alors, on dira ce qu’on voudra, que les exemples n’étaient pas accessibles, que ça ne parlait pas français, que c’était très partial et partiel, que ça disait du bien de tags dépréciés ; que sais-je encore...
Mais Webmonkey a eu le grand mérite d’être parmi les sites qui ont défini la façon dont on écrit des documentations techniques sur le web : des exemples rigoureux, mais soutenus par un ton informel, oral, qui rend la lecture plus aisée et agréable. C’est une grande leçon et pour ça je n’oublierai pas Webmonkey.
Autre chose encore : c’est là que j’ai entendu parler pour la première fois de gens qui sont devenus des références personnelles, que ce soit Derek Powazek, Jeff Veen et d’autres. C’est de là, aussi, qu’a germé l’idée qui est devenue evolt.
Ce n’est pas rien, quand même... Un petit pincement au coeur...