Replying to: Emmanuel
Et moi aussi je commente en français, mon anglais parlé-écrit s’évanouissant petit à petit à mon grand regret.
Être dans le flux, l’énergie, la « pochade », plus que dans la réflexion, l’auto-critique, l’auto-censure aussi. Je me prends souvent à trop réfléchir mes idées, mes mots, et du coup rien n’en sort, ou très mal, à en devenir laborieux pour le lecteur. Lorsque je réussi en revanche, je le sens, c’est comme une bonne photographie, j’y retrouve l’énergie plusieurs mois ou années après.
Ton billet rejoint ce qu’a écrit Thierry Crouzet sur la « send generation » ; j’en parle ici (…)