Je fais du rangement, c’est la grande quinzaine du blanc dans mon ordinateur, et je retrouve une note prise en septembre dernier dans un billet de Marie, Peur et chance :
À cette époque comme aujourd’hui, je préfère toujours prendre un risque pour être à terme plus heureuse, plutôt que de me laisser dépérir dans une situation qui ne me convient pas.
Preuve que l’épuisement m’avait déjà gagné et que je commençais sérieusement à peser les pours et les contres d’un énième nouveau départ.
Comme souvent, je trouve rétrospectivement chez Marie des échos de réflexions qui me sont familières.