In this post, I’ll outline some recent observations […]
Page weight isn’t the only measure ; focus on perceived performance
Nous revoilà en 2000. Vous vous rappelez de l’excellent Art & Science
of Web Design de Jeff Veen ?
Il y parlait du « sleight of hand » (le « tour de main » du magicien) pour expliquer comment un site [1] utilisait un mélange de CSS et de mise en page pour donner l’illusion de vitesse.
Rien de récent donc sur les constatations, un petit manque de recul historique dans nos métiers, dû en partie à la jeunesse des gens qui les pratiquent [2].
Ce qui a changé aujourd’hui ? Le poids pharaonique des pages, qui chargent un tas de trucs dont on n’a pas besoin [3], surtout maintenant que le Web mobile est devenu un tel enjeu (et qu’il dépasse le « Web de bureau » en temps d’usage), ce qu’Élie résume tellement bien en les nombreuses dégradations actuelles de l’expérience utilisateur
(lire Publicité Web : y’a des limites ? - Blog Temesis).
Un petit bémol donc, sur tous les articles liés à la performance : quand on dit « le poids n’est pas la seule mesure », on finit par s’habituer à entendre « la mesure est ailleurs » [4], alors qu’il faut quand même toujours et encore limiter le poids des pages, quoi qu’on fasse en parallèle [5]. Il faut donc continuer à dire que ce n’est pas la seule mesure, mais elle est et doit rester cruciale dans votre processus de validation : posez des objectifs de performance liés au poids de la page, pas seulement à ce qui s’affiche rapidement au-dessus du légendaire pli.