L’oisiveté vous donne un sentiment d’insignifiance ; c’est dans votre caractère.
— Philip K. Dick, dans la nouvelle Ce que disent les morts.
Moi c’est le contraire. L’oisiveté libère mon esprit, qui réfléchit en liberté, bondit d’idée en idée (comme les rêves dont on se souvient vaguement qui sont survenus juste avant le réveil), écoute et sent et touche le monde. Temps idéal aussi pour lire à mon rythme ou regarder ce que je veux, séries et films.
J’aime l’oisiveté.
Dans la même nouvelle : S’il y a une chose que je ne peux pas supporter, pensa-t-il, c’est de me faire donner des leçons par une femme.
Dick était quand même bien, comme tout le monde, le produit de son époque.
En parlant d’époque : j’aime les effets spéciaux surannés d’avant les images de synthèse. Les trucs à la Ray Harryhausen, j’adore ! Je me suis fait plaisir en revoyant les trois Evil Dead. Mais il faut bien reconnaître que le troisième est nul. Rigolo mais nul !
