Cher Martin,
Je rentre de vacances il n’y a pas trois heures et je découvre sur Terre d’escale qu’on vous a un peu traité comme un malpropre...
J’avais bien entendu quelques annonces sur les médicaments les dernières semaines qui précédaient les vacances, en pub déguisée pour notre santé, avec des petits relents de "les directeurs des entreprises pharmaceutiques savent mieux que les médecins ce qui est bon pour ma santé".
Je suis choqué, voilà tout. Je croyais à l’intelligence et à l’autonomie de France Inter, un peu naïvement, comme un gentil petit citoyen qui veut croire à la qualité de son service public. J’aimais l’impertinence des chroniqueurs d’Inter, et par là-même j’aimais évidemment la vôtre, tant pour son contenu que pour votre écriture.
Et voilà. Demain je ne vous écouterai pas à huit heures moins dix. Jean-Luc Hees n’a pas un métier facile, dirait-on. Ou plutôt sa secrétaire.
Soyez assuré de toute ma sympathie.