Sous ce titre racoleur se trouve un dossier beaucoup trop court, qui explique comment les images dans les médias sont forcément trafiquées, et, surtout, que ce n’est pas une invention de la photocomposition numérique.
S’ensuit une discussion sur l’obligatoire subjectivité du point de vue du photographe, sur la fiabilité de l’image résultante, et, partant, sur notre désintérêt actuel de certaines images, car perçues comme propagandistes plutôt que sincères.
Bref, à défaut d’un lien direct vers le site de Télérama, je ne peux que vous conseiller l’achat du Télérama de cette semaine (n° 2846 du 31 juillet au 6 août 2004).
Si quelqu’un a un livre complet sur le sujet, ça pourrait bien m’occuper quelques allers-retours de RER...