En réponse à : Basile
Salut Stéphane,
Le trajet, du chien du sabotier au numérique : de sac à puces à cartes à puces ! ;D
Ton parallèle m’amuse.
Digital aux heures ouvrées, je suis un manuel invétéré durant mes temps libres, que je passe autant que possible à apprendre et travailler le cuir chez… un bourrelier ! Oui, oui, à l’ancienne, dans un antre empli de cuirs et de peaux, d’odeurs, de musiques ou de silences, de discussions, de coups de bourre et de coups de sang aussi (comme quoi l’enfer, c’est parfois les antres).
La principale différence que j’y perçois ? La concentration. Dans le digital, rien ne (…)