Ce matin dans le RER j’ai vu une dame qui avait quatre exemplaires du même journal gratuit dans les mains.
Qu’espère-t-elle ? Que les nouvelles, par extraordinaire, ne seront pas aussi mauvaises dans un autre exemplaire ?
Ce matin dans le RER j’ai vu une dame qui avait quatre exemplaires du même journal gratuit dans les mains.
Qu’espère-t-elle ? Que les nouvelles, par extraordinaire, ne seront pas aussi mauvaises dans un autre exemplaire ?
Elle pense à ses collègues qui passent trop tôt ou trop tard
Mais pourquoi les gens sont-ils toujours aussi prosaïques ? On n’a pas le droit d’imaginer plus loin que son nez, ou bien ?