Éric sur l’usage des smartphones disait :
Aujourd’hui j’ai beau avoir un vrai handicap social avec ce smartphone, je discute par écrit avec plus de correspondants que quiconque de « non drogué ». Bref, la relation sociale change de forme, mais elle ne s’éteint pas du tout.
Je le rejoins complètement.
J’aime la communication asynchrone, et même je l’aime de plus en plus à mesure que s’installe l’inquiétude liée à la malentendance (ou plutôt je réalise que ça fait quinze ans que je la préfère au téléphone).
Et puis, mine de rien, la plupart de mes copains sont loin, et le téléphone est une intrusion.