Une carte du RER C qui s’éloigne enfin du canon établi par la brillante carte du métro londonien par Henry Beck.
Non pas que je reproche quoi que ce soit aux représentations en « circuits imprimés » qui sont la plupart du temps un très bon moyen de comprendre des données cartographiques assez complexes en les simplifiant, mais le RER C a une géographie qui s’y prête assez mal.
Les gens de la SNCF ont donc opté pour une solution qui se rapproche des formes géographiques réelles, en éliminant toutes les autres lignes. Autrement dit : réfutation d’un principe de design qui marche presque à chaque fois parce que justement dans ce cas précis le modèle ne marchait pas. Bravo.