Dire ce que les gens valent

Je lis peu de blogs en ce moment, le temps d’une réinstallation un peu pénible de mon Ubuntu [1], mais voilà, ce soir j’ai remis en route l’agrégateur de RSS.

Parmi les articles récents qui apparaissent :

Il y a ensuite eu les copains, les amis. Ces personnes que j’apprécie mais que je vois peu. Ces gens qui comptent sans que je ne daigne véritablement le leur dire. Ces visages qui changent un peu au fil des ans mais qui restent à jamais les mêmes lorsque je les revois.

C’est une coïncidence amusante, parce que pas plus tard qu’hier soir j’ai vu Le rôle de ma vie, film très émouvant sur la parentalité, la mort, l’humanité, la vie et comment on en tire un minimum de sens pendant qu’on y est.

J’en ai profité dès aujourd’hui pour gratter un truc qui me démangeait depuis longtemps dans une tribu qui m’est proche, et semble-t-il je vais gratter un peu plus efficacement encore dans les jours à venir.

On ne vit qu’une fois, sauf réincarnation inattendue. Autant ne pas passer sa vie à faire des reproches à ceux qu’au fond on aime, et à qui on oublie de le dire. Les gens ne vont pas de soi. Un jour ils meurent et c’est trop tard.

Notes

[1Ubuntu c’est un linux. Linux c’est un système d’exploitation libre, c’est bien parce qu’on peut configurer, voire contribuer si on en a le talent, et c’est pas bien parce que c’est parfois douloureux.

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