Karl se pose la question du coût des boissons chaudes. Incidemment on sen parlait il y a quelque temps avec Emmanuel, qui a tenté la chicorée comme ersatz de café. Mais ne nous leurrons pas. La chicorée c’est pas bon !
Boire un thé ou un café… et se poser une longue question sur le coût environnemental de production, fabrication et transport.
Oui, ça me questionne beaucoup aussi avec mon chocolat.
Et, corollaire : je me demande quelle est la charge de culpabilité liée à l’empreinte écologique de chaque individu, qu’on se rabâche à soi-même, par rapport au coût environnemental réel qui est sans doute très marginal, quand on compare avec tout le reste.
Attention cependant : je n’oppose pas l’empreinte individuelle et l’empreinte collective (industrielle et capitaliste par ici, bourgeoise par-là), les deux sont à prendre en compte, chacune à son niveau.