Aujourd’hui je vais bien

Un genre d’hommage maladroit au Ici, ça va de Thomas Vinau. (Lisez-le, c’est chouette et ça fait plaisir.)

On a beau avoir des chaussures élégantes et des chemises repassées, on reste un primate qui est attentif aux trucs potentiellement négatifs, question de survie préhistorique.
Ce qui fait qu’on dit plus souvent quand ça ne va pas que quand ça va.

Certaines méthodes comme « les trois kifs » veulent tenter de contrarier ce réflexe — voir chez Tristan.

Mais bon. Chassez le naturel, il revient au galop. J’ai donc, comme la plupart des gens, une tendance à relever les jours où ça ne va pas. Les douleurs, le moral qui tend vers le fond du trou, etc.

Et donc.

  • Hier :
  • Aujourd’hui :
    • Les douleurs sont un bruit de fond négligeable ;
    • Le moral est bon.
  • Cette semaine :
    • Un dégommage en règle de zombies (Fort Hendrix, idée géniale de campagne) ;
    • Des projets de grasse matinée ;
    • Un concert vendredi prochain.

Alors voilà.

On note en passant que dans un même article je parviens à mettre « Mais bon. », « Et donc. » et « Alors voilà. ». J’attends le Nobel de littérature d’un jour à l’autre.

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