Mes bons amis de Paris Web me font l’honneur de publier le texte suivant :
Paris Web - Molly Holzschlag a besoin de nous
La communauté des professionnels du Web s’est fédérée autour d’un certain nombre de valeurs de respect et de partage. Ces valeurs doivent beaucoup aux « grands anciens » qui la composent, et parmi ceux-ci Molly tient une place importante, aux côtés de Jeffrey Zeldman, Eric Meyer et quelques autres.
Sur la couverture du premier livre professionnel que j’ai lu, en 1999, Usability : The Site Speaks for Itself (quand on ne disait pas encore UX mais usability), il y avait le nom de Molly Holzschlag.
Dans la liste des fondateurs du Web Standards Project, il y avait le nom de Molly Holzschlag.
Parmi les rares personnes à être passées chez Microsoft, Opera, à avoir contribué au W3C, toujours au service des standards et d’un Web ouvert, il y a le nom de Molly Holzschlag.
Depuis longtemps, Molly porte haut les valeurs de partage qui nous animent, ainsi (je le répète) que la défense des standards sans laquelle notre travail serait encore plus compliqué qu’il ne l’est déjà (la guerre des navigateurs, tu te rappelles mon vieux Georges, ou tu étais trop jeune ?).
Certains d’entre nous ont eu la chance de voir Molly à Paris Web en 2009, et pour ceux qui l’ont rencontrée, c’est un moment inoubliable. Sa passion, son énergie, son amour d’autrui en font une personnalité profondément attachante.
Depuis des années, Molly se bat avec la maladie, et c’est maintenant la chimiothérapie qui a abîmé son organisme à tel point que son sang a besoin de soins. Le système de santé aux États-Unis se résume à un simple choix pour Molly : mourir riche ou survivre en se ruinant.
Pour l’instant Molly survit, mais elle n’a pas l’argent nécessaire. Nous nous permettons donc de vous suggérer de contribuer à la quête organisée par Brian Keith Sullivan pour aider à sauver Molly.
Notre communauté lui est immensément redevable, et c’est le moment de donner un peu d’argent en retour de tout ce que Molly nous a donné. Merci à vous.
Vous savez ce qui vous reste à faire, merci de votre écoute.