Je (re)découvre le concept d’Ikigai.
Le point le plus délicat reste « Ce dont le monde a besoin ». J’aime mon métier mais je le trouve superficiel. Passer 2 jours pour pondre un fichier de configuration de 3 lignes, difficile d’y trouver du sens hormis que « c’est le boulot » et même si j’aime ça. Configurer, installer, maintenir des serveurs est bien loin des considérations comme l’écologie, la production de nourriture, l’éducation qui ont vraiment du sens. J’ai décidé d’adresser « Ce dont le monde a besoin » en bloguant, en participant au Journal du hacker, en faisant ma part. Je partage, je donne. J’apprécie l’idée de « déduplication de l’agonie » : Plutôt que chacun ait à faire une fois une tâche pénible (l’agonie en question), celui qui la résout le premier la partage. De cette façon, les agonies sont dédupliquées.
C’est joliment dit, mais « agonie » me semble un anglicisme ici. Douleur soit, mais agonie quand même… Ou alors c’est vraiment une douleur mortelle, ce qui est possible aussi.
Cette notion de « déduplication » est très intéressante. Il y a longtemps je notais dans ces pages les petits trucs que j’avais trouvés, je ne sais pas pourquoi j’ai arrêté. Note à moi-même : bin recommence, hé, patate.
(Pour plus d’informations, voir Ikigai sur Wikipédia.)