En réponse à : Csecile
Stéphane : Oui, quand on se penche sur sa vulnérabilité physique, on est anxieux, c’est bien normal.
Mon père (cet anchois), atteint comme moi de la vue et de l’ouïe n’a jamais accepté et s’est toujours débattu avec violence et amertume contre les défaillances de son corps. Tous ses enfants, sourds et mirauds comme lui, lui ont montré et expliqué en long en large et en travers comme un peu d’acceptation l’aiderait à moins souffrir : rien à faire. Beaucoup d’hommes refusent de se soigner (d’une façon générale, sans que ce soit forcément lié au handicap), par peur d’affronter leur (…)