En réponse à : Stéphane
Je me demande si ça vient du monde de l’imprimerie ou de celui plus large de la dactylographie (machines à écrire, etc.) qui a par la suite conditionné l’enseignement de la frappe (sur l’air de « ne vous fatiguez pas à mettre des accents, ça n’existe pas »).
Les dactylos sont passées de la machine à écrire à l’ordinateur, qui permettait quant à lui à peu de frais de mettre des accents, et l’enseignement n’a pas suivi.