En réponse à : tetue
Ah bin zut. Moi aussi, un matin je l’ai retrouvé à terre, les papates en l’air, l’animal qui partageait ma petite vie. Je me suis sentie bête d’avoir une telle envie de pleurer, soudain. Mais voilà, on les aime, ces bougres d’animaux !
Tendres bises.
PS : ça ne m’empêche pas de détester cordialement les chiens, et de leur préférer feu mon rossignol du Japon, hein.