En réponse à : emmo
C’est fou ce que nos trains-trains de vie nous poussent à être peu aimable, aigri et peu anclin au dialogue simple et à l’échange naturel.
Il faut croire qu’à l’époque des campagnes et des troupeaux, les gens savaient vivre.
Comme dirait l’autre, "c’était mieux avant" ?
En tout cas, c’est touchant et très étrange e voir la place e l’enfant dans tout ces relands et vestiges de manque de civisme et d’amabilité.
L’enfant qui sourit est un vieux cliché qui dénotte le bien-être et le bon-vivre d’une societé.
Le plus dur pour un enfant, ce n’est pas de sourire, c’est de continuer à (…)