En réponse à : Stéphane
Sacrip’Anne : En te lisant je me dis que je m’exprime mal et je vais tâcher de reformuler (merci 🙂).
Je veux dire qu’on a été toustes tellement bassinées par le fait que l’empreinte écologique est très liée à notre fait individuel, qu’on finit par se le rabâcher pour la moindre petite chose.
La communication a été suffisamment bien faite (merci BP et Ogilvy) pour nous pousser à la culpabilité individuelle, réduisant par là-même dans l’imaginaire collectif le poids de la responsabilité politique capitaliste.
Mais au-delà de son image, BP avait un but bien précis : rediriger la (…)