En réponse à : Stéphane
cyberschtroumpf : Chez nous on a de la chance, il n’y a pas de cheffaillons.
On entend une grosse inquiétude quant au risque psycho-social, que censément on peut réduire en permettant aux gens de se voir pour éviter la « rupture du lien social » (ce n’est pas exactement la formule, je ne sais plus ce que c’est, d’où mes guillemets).
Bonne remarque pour les professionnels de la restauration.