Année 2015

(77 articles en 2015)

  • Ne pas lâcher la rampe — 3 décembre 2015

  • Mercis — 4 décembre 2015

  • Argumentation en berne (4 décembre 2015)

    C’est l’histoire d’un mec qui a grandi dans un pays où on discutait sans se battre.

  • Sursaut (7 décembre 2015)

    Le sursaut démocratique a bien eu lieu, et c’est ça qui rend cette élection encore plus triste.

  • Cravates (8 décembre 2015)

    Un signe discret et minuscule de reconnaissance et de signification.

  • Apprenons à décoder les discours politiques (9 décembre 2015)

    « On peut rire de tout, mais pas avec tout le monde. » (Pierre Desproges)

  • Presse (10 décembre 2015)

    Le 7 janvier, Charlie Hebdo est attaqué. Tout le monde se rue dans les kiosques : il faut « sauver la presse. »

  • Logiciel libre et opinions politiques (13 décembre 2015)

    L’open-source est-il de gauche ?

  • En route — 14 décembre 2015

  • Page d’accueil (15 décembre 2015)

    C’est souvent plus rapide de regarder le nom de domaine que de chercher un lien about.

  • Pas question d'arrêter — 18 décembre 2015

  • Opquast Day, 17 décembre 2015 (18 décembre 2015)

    J’étais à l’Opquast Day jeudi 17 décembre, lieu idéal pour faire le point sur l’avancement d’Opquast et les évolutions du référentiel en V3.

  • Feuille de style utilisateur, le retour (22 décembre 2015)

    Moi qui avais la flemme de bricoler les CSS utilisateur, je m’aperçois que néanmoins un certain nombre de sites me sont pénibles à lire.

  • Performances trop bonnes (23 décembre 2015)

    Être obligé de donner une illusion de ralentissement pour que les gens comprennent que la page est chargée, ça me donne un petit tic nerveux, je ne sais pas pourquoi.

  • Identité numérique (24 décembre 2015)

    Pendant un bon moment j’ai été furtif, intraçable, à une époque où ça n’avait pas vraiment d’importance.

  • Régressif (25 décembre 2015)

    Deux fois en une semaine j’ai évoqué mes douze ans. Ça doit être l’âge qui veut ça.

  • Plutôt que… (27 décembre 2015)

    Nous autres Français, nous sommes plutôt râleurs.