En réponse à : Otir
Observation qui me touche.
Je parle un français d’il y a des années, parce que je ne le parle plus au quotidien, je l’écris comme je le sens dans une sorte d’imaginaire idéalisé pour qu’il transmette des pensées, des émotions, des sensations à son lecteur.
Entre l’écrit et l’oral, il y a des mondes. Aussi multiples que possible. Chacun d’entre eux est fait de réalités qui sont autant d’expériences différentes d’un quotidien qui change très vite.
Le français - contrairement à d’autres langues - a toujours eu cette particularité de n’avoir pas tant de passerelles entre l’écrit et (…)