En réponse à : Marlene
Je l’appelais […].
Je fus une fan de Pierre Lazuly, puis une amie de […].
C’était un grand modeste, et pourtant un mec brillant, passionné.
On travaillait tous deux dans cet endroit qu’il détestait. J’ai du mal à penser qu’il ne partira plus pêcher le bar en kayak. Qu’il n’ira plus fouler le bitume de Lisbonne.
Tristesse infinie.
Saudade.