En réponse à : gilda
Comme Sacrip’Anne. Voilà un billet qui fait bien plaisir. Attention toutefois aux bouffées de retour du chagrin qui peuvent être redoutables au moment où, se croyant sorti du pire, on commence à baisser la garde. Sans parler des cas où alors que l’on a enfin un peu repris son souffle, la vie attaque par un autre front.