Matthias Ott parle du défi de publier régulièrement sur un blog.
Au passage je trouve rafraîchissant de voir ressurgir des articles « méta » comme à la grande époque, où l’on commentait d’un blog à l’autre sur la fréquence ou l’absence d’un blogueur, et où l’on écrivait un article pour dire qu’on n’écrivait plus mais que ça allait revenir.
Ironiquement, après un trimestre entier sans rien publier, je tombe sur cet article dans mes flux RSS.
So how do they do it ? Do they sit down at their desk – very consciously – and take the time to write ? You better believe they do. Do they write without worrying too much about what others might think or how polished their posts are ? For sure. But, more importantly, it looks like they are enjoying the process of creating and have found a way to make publishing easy for them. And those two things might really be the key to publishing more often :
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Enjoy the practice.
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Make it as convenient and comfortable as possible to publish.
Now, there’s only one thing left to do to just put stuff out there.
Don’t overthink it – hit publish.
Voilà, ça se résume à ça :
- Y prendre du plaisir.
- Faire en sorte que ce soit aussi facile et confortable de publier.
- Ne pas se prendre la tête et cliquer sur le bouton.
J’ai mes raisons pour ne rien avoir écrit. Enfin si, j’ai écrit, mais pas publiquement ; j’ai écrit pour poser les choses, pour comprendre ma vie du moment sans vous l’infliger ni faire souffrir ou exposer l’intimité de mon entourage.
Mais j’aime toujours autant la sensualité du clavier sous les doigts (si, si), la magie de penser quelque chose qui apparaît directement sur l’écran, et celle encore plus folle et toujours renouvelée de l’idée qu’on peut me lire, là, très loin, de l’autre côté de cette petite fenêtre sur le monde.
Une mienne camarade qui s’est faite discrète en ligne ces derniers temps — D’ailleurs elle écrivait il y a quelques mois Je vais continuer je crois. Juste par gourmandise. J’ai de la réserve, je ne publierai pas tout, sans doute.
avant de se saborder. Ladite camarade, disais-je, me poussait au détour d’un café à reparler ici de bande dessinée. Ouais, faut voir.
En attendant, je lis des livres et Emmanuel a repris le chemin du blog en même temps que celui de son étrave ! Et ça, c’est bien cool, on voyage par procuration.
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